Les 16 Types De Fiches S De La Dgsi

Les 16 Types De Fiches S De La Dgsi : Tout Ce Que Vous Devez Savoir

Les 16 types de fiches S de la DGSI constituent un système de classification utilisé par les services de renseignement français pour identifier et suivre les individus considérés comme une menace potentielle pour la sécurité nationale.

Un Système Complexe

Les critères utilisés pour établir ces fiches sont variés et peuvent inclure des éléments tels que les opinions politiques, les convictions religieuses, les activités militantes ou encore les comportements jugés suspects.

Des Catégories Variées

Les 16 types de fiches S sont répartis en quatre catégories principales :

1. Les Fiches S1 


1. Les Fiches S1 , FR Type

Elles concernent les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités terroristes.

2. Les Fiches S2 


2. Les Fiches S2 , FR Type

Elles concernent les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités d’espionnage ou de sabotage.

3. Les Fiches S3 


3. Les Fiches S3 , FR Type

Elles concernent les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités subversives ou de propagande.

4. Les Fiches S4 


4. Les Fiches S4 , FR Type

Elles concernent les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités criminelles graves.

Problèmes et Solutions

Le système de fiches S a été critiqué pour son manque de transparence et pour le risque de stigmatisation des individus fichés.

Pour résoudre ces problèmes, plusieurs mesures ont été proposées, notamment :

  • L’instauration d’un contrôle indépendant du système de fiches S.
  • La définition de critères plus précis pour l’établissement des fiches.
  • La mise en place d’un système de recours pour les individus fichés.

Exemples de Fiches S

Voici quelques exemples de personnes qui ont été fichées S par la DGSI :

1. Salah Abdeslam :

Membre du commando terroriste qui a perpétré les attentats du 13 novembre 2015 à Paris.

2. Amedy Coulibaly :

Coauteur de l’attentat de l’Hyper Cacher de Paris en janvier 2015.

3. Mohamed Merah :

Auteur des tueries de Toulouse et Montauban en mars 2012.

4. Chérif Kouachi :

Coauteur de l’attentat contre Charlie Hebdo en janvier 2015.

Citations

Selon Alain Bauer, sociologue et spécialiste du renseignement :

“Le système de fiches S est un outil indispensable pour les services de renseignement, mais il doit être utilisé avec précaution et de manière proportionnée.”

Selon Pierre-Étienne Geoffroy, avocat spécialiste des libertés publiques :

“Le système de fiches S est un instrument de surveillance de masse qui porte atteinte aux libertés individuelles et qui est utilisé de manière discriminatoire.”

Conclusion : Le système de fiches S de la DGSI est un outil controversé qui soulève de nombreuses questions éthiques et juridiques. Les mesures proposées pour améliorer la transparence et le contrôle du système sont un pas dans la bonne direction, mais il reste encore beaucoup à faire pour garantir que les droits des individus fichés soient respectés.

Les 16 Types De Fiches S De La Dgsi

Système de classification des individus considérés comme une menace potentielle pour la sécurité nationale.

  • 16 catégories de fiches S
  • Fiches S1 : terrorisme
  • Fiches S2 : espionnage
  • Fiches S3 : subversion
  • Fiches S4 : criminalité grave

Le système de fiches S est controversé en raison de son manque de transparence et du risque de stigmatisation des individus fichés.

16 catégories de fiches S


16 Catégories De Fiches S, FR Type

Les 16 catégories de fiches S sont utilisées par la DGSI pour classer les individus considérés comme une menace potentielle pour la sécurité nationale.

  • Fiche S1 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités terroristes. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S2 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités d’espionnage ou de sabotage. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S3 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités subversives ou de propagande. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S4 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités criminelles graves. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S5 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de trafic de stupéfiants. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S6 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de traite des êtres humains. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S7 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de blanchiment d’argent. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S8 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de contrefaçon. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S9 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de piratage informatique. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S10 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de cybercriminalité. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S11 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de radicalisation. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S12 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités d’extrémisme religieux. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S13 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de séparatisme. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S14 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de rébellion. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S15 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de terrorisme international. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Fiche S16 :

    Cette fiche concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités de criminalité organisée. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

Ces 16 catégories de fiches S permettent à la DGSI de classer les individus considérés comme une menace potentielle pour la sécurité nationale en fonction de la nature de la menace qu’ils représentent.

Fiches S1


Fiches S1, FR Type

La fiche S1 est la fiche la plus grave des 16 catégories de fiches S. Elle concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités terroristes. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

Les informations qui peuvent conduire à l’établissement d’une fiche S1 sont variées. Il peut s’agir, par exemple, de renseignements sur des liens avec des groupes terroristes, de participation à des réunions ou à des entraînements terroristes, de possession d’armes ou d’explosifs, ou de propos tenus en faveur du terrorisme.

Une fois qu’une fiche S1 est établie, l’individu concerné est soumis à une surveillance étroite de la part des services de renseignement et de la police. Cette surveillance peut prendre différentes formes, telles que des écoutes téléphoniques, des filatures ou des perquisitions.

La fiche S1 peut avoir des conséquences importantes sur la vie de l’individu concerné. Elle peut entraîner des difficultés à trouver un emploi, à louer un logement ou à voyager. Elle peut également conduire à des mesures d’éloignement ou d’interdiction de territoire.

La durée de la fiche S1 est variable. Elle peut être levée si les services de renseignement estiment que l’individu ne représente plus une menace pour la sécurité nationale. Cependant, dans certains cas, la fiche S1 peut être maintenue pendant plusieurs années, voire indéfiniment.

La fiche S1 est un outil controversé. Certains estiment qu’elle est nécessaire pour protéger la sécurité nationale. D’autres estiment qu’elle porte atteinte aux libertés individuelles et qu’elle est utilisée de manière discriminatoire.

Fiches S2


Fiches S2, FR Type

La fiche S2 concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités d’espionnage ou de sabotage. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

Les informations qui peuvent conduire à l’établissement d’une fiche S2 sont variées. Il peut s’agir, par exemple, de renseignements sur des liens avec des services de renseignement étrangers, de participation à des activités de collecte de renseignements secrets, de possession de documents classifiés ou de tentatives d’infiltration d’organismes sensibles.

Une fois qu’une fiche S2 est établie, l’individu concerné est soumis à une surveillance étroite de la part des services de renseignement et de la police. Cette surveillance peut prendre différentes formes, telles que des écoutes téléphoniques, des filatures ou des perquisitions.

La fiche S2 peut avoir des conséquences importantes sur la vie de l’individu concerné. Elle peut entraîner des difficultés à trouver un emploi, à louer un logement ou à voyager. Elle peut également conduire à des mesures d’éloignement ou d’interdiction de territoire.

La durée de la fiche S2 est variable. Elle peut être levée si les services de renseignement estiment que l’individu ne représente plus une menace pour la sécurité nationale. Cependant, dans certains cas, la fiche S2 peut être maintenue pendant plusieurs années, voire indéfiniment.

La fiche S2 est un outil controversé. Certains estiment qu’elle est nécessaire pour protéger la sécurité nationale. D’autres estiment qu’elle porte atteinte aux libertés individuelles et qu’elle est utilisée de manière discriminatoire.

Fiches S3


Fiches S3, FR Type

La fiche S3 concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités subversives ou de propagande. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

Les informations qui peuvent conduire à l’établissement d’une fiche S3 sont variées. Il peut s’agir, par exemple, de renseignements sur des liens avec des groupes subversifs, de participation à des manifestations violentes, de diffusion de propagande extrémiste ou de propos tenus en faveur de la subversion.

Une fois qu’une fiche S3 est établie, l’individu concerné est soumis à une surveillance étroite de la part des services de renseignement et de la police. Cette surveillance peut prendre différentes formes, telles que des écoutes téléphoniques, des filatures ou des perquisitions.

La fiche S3 peut avoir des conséquences importantes sur la vie de l’individu concerné. Elle peut entraîner des difficultés à trouver un emploi, à louer un logement ou à voyager. Elle peut également conduire à des mesures d’éloignement ou d’interdiction de territoire.

La durée de la fiche S3 est variable. Elle peut être levée si les services de renseignement estiment que l’individu ne représente plus une menace pour la sécurité nationale. Cependant, dans certains cas, la fiche S3 peut être maintenue pendant plusieurs années, voire indéfiniment.

La fiche S3 est un outil controversé. Certains estiment qu’elle est nécessaire pour protéger la sécurité nationale. D’autres estiment qu’elle porte atteinte aux libertés individuelles et qu’elle est utilisée de manière discriminatoire.

Fiches S4


Fiches S4, FR Type

La fiche S4 concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités criminelles graves. Elle peut être établie sur la base d’informations provenant de sources diverses, telles que les services de renseignement, la police ou la justice.

  • Trafic de stupéfiants :

    Cette catégorie concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans le trafic de drogues, qu’il s’agisse de production, de transport, de distribution ou de vente.

  • Traite des êtres humains :

    Cette catégorie concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans la traite des êtres humains, qu’il s’agisse d’exploitation sexuelle, de travail forcé ou de servitude.

  • Blanchiment d’argent :

    Cette catégorie concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans le blanchiment d’argent, qu’il s’agisse de dissimuler l’origine de l’argent provenant d’activités criminelles ou de le réintroduire dans l’économie légale.

  • Contrefaçon :

    Cette catégorie concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans la contrefaçon de produits, qu’il s’agisse de vêtements, de médicaments ou de billets de banque.

  • Piratage informatique :

    Cette catégorie concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans le piratage informatique, qu’il s’agisse d’intrusion dans des systèmes informatiques, de vol de données ou de sabotage.

  • Cybercriminalité :

    Cette catégorie concerne les individus soupçonnés d’être impliqués dans la cybercriminalité, qu’il s’agisse de fraude en ligne, de chantage ou de diffusion de contenus illicites.

Une fois qu’une fiche S4 est établie, l’individu concerné est soumis à une surveillance étroite de la part des services de renseignement et de la police. Cette surveillance peut prendre différentes formes, telles que des écoutes téléphoniques, des filatures ou des perquisitions.

La fiche S4 peut avoir des conséquences importantes sur la vie de l’individu concerné. Elle peut entraîner des difficultés à trouver un emploi, à louer un logement ou à voyager. Elle peut également conduire à des mesures d’éloignement ou d’interdiction de territoire.

La durée de la fiche S4 est variable. Elle peut être levée si les services de renseignement estiment que l’individu ne représente plus une menace pour la sécurité nationale. Cependant, dans certains cas, la fiche S4 peut être maintenue pendant plusieurs années, voire indéfiniment.

La fiche S4 est un outil controversé. Certains estiment qu’elle est nécessaire pour protéger la sécurité nationale. D’autres estiment qu’elle porte atteinte aux libertés individuelles et qu’elle est utilisée de manière discriminatoire.

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