Diabète de type 2 : faut-il vraiment se faire des injections d’insuline ?
Le diabète de type 2 est une maladie chronique qui touche de nombreuses personnes en France. Elle est caractérisée par une élévation du taux de sucre dans le sang, due à une résistance à l’insuline. Dans un premier temps, le diabète de type 2 peut être contrôlé par un régime alimentaire et par la pratique d’une activité physique régulière. Cependant, au fil du temps, il peut devenir nécessaire de recourir à des injections d’insuline.
Les différents types d'insuline
Il existe différents types d’insuline, qui ont une durée d’action plus ou moins longue. Le médecin vous prescrira le type d’insuline qui vous convient le mieux, en fonction de vos besoins et de votre mode de vie.
- Insuline à action rapide : ce type d’insuline commence à agir environ 15 minutes après l’injection et dure de 3 à 4 heures.
- Insuline à action intermédiaire : ce type d’insuline commence à agir environ 1 à 2 heures après l’injection et dure de 12 à 18 heures.
- Insuline à action prolongée : ce type d’insuline commence à agir environ 4 à 6 heures après l’injection et dure de 24 à 36 heures.
Comment se faire une injection d'insuline
Les injections d’insuline se font généralement dans le tissu sous-cutané, c’est-à -dire sous la peau. Les sites d’injection les plus courants sont le ventre, les cuisses, les fesses et les bras.
- Lavez-vous les mains et le site d’injection.
- Retirez le capuchon de l’aiguille.
- Pincez la peau du site d’injection pour former un pli.
- Insérez l’aiguille dans le pli de peau à un angle de 45 degrés.
- Poussez le piston de la seringue pour injecter l’insuline.
- Retirez l’aiguille et le pli de peau.
- Massez doucement le site d’injection.
Les effets secondaires des injections d'insuline
Les injections d’insuline peuvent entraîner des effets secondaires, tels que :
- Une douleur ou une rougeur au site d’injection
- Une hypoglycémie (taux de sucre dans le sang trop bas)
- Une prise de poids
- Des nausées
- Des vomissements
- Une diarrhée
- Une constipation
Conclusion
Le diabète de type 2 est une maladie chronique qui peut entraîner de graves complications si elle n’est pas traitée correctement. Les injections d’insuline peuvent être un traitement efficace pour contrôler le taux de sucre dans le sang et réduire le risque de complications. Cependant, il est important de discuter avec votre médecin des risques et des avantages des injections d’insuline avant de prendre une décision.
Diabète de type 2 Ou Faire Les Injectio Image Normal
Contrôler le taux de sucre dans le sang.
- Injections d’insuline nécessaires.
Discuter avec médecin avant décision.
Injections d'insuline nécessaires.
Lorsque le diabète de type 2 n’est plus contrôlable par un régime alimentaire et une activité physique, les injections d’insuline deviennent nécessaires. L’insuline est une hormone qui permet au glucose de pénétrer dans les cellules pour être utilisé comme énergie. Les personnes atteintes de diabète de type 2 ne produisent pas suffisamment d’insuline ou n’y répondent pas correctement, ce qui entraîne une accumulation de glucose dans le sang.
Les injections d’insuline permettent de faire baisser le taux de sucre dans le sang en imitant l’action de l’insuline naturelle. Elles peuvent être administrées à l’aide d’un stylo injecteur ou d’une pompe à insuline. Le médecin vous prescrira le type d’insuline et la dose qui vous conviennent en fonction de vos besoins et de votre mode de vie.
Les injections d’insuline sont généralement bien tolérées, mais elles peuvent entraîner des effets secondaires tels que des douleurs ou des rougeurs au site d’injection, des hypoglycémies (taux de sucre dans le sang trop bas), une prise de poids, des nausées, des vomissements, une diarrhée ou une constipation.
Si vous êtes atteint de diabète de type 2 et que votre médecin vous a prescrit des injections d’insuline, il est important de suivre ses instructions attentivement. Les injections d’insuline peuvent vous aider à contrôler votre taux de sucre dans le sang et à réduire le risque de complications graves telles que les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, les lésions rénales et la cécité.
